Comme trace de ce débat passé (25 septembre 2013), l’annonce et la liste des invités et une copie de la conduite que j’avais proposée aux intervenants :
1. L’open access et les mandats (institutionnels, nationaux, européen)
a. Succès de l’open access à l’ULg lié au mandat institutionnel. Modèle qui se diffuse ailleurs ?
b. Mandats nationaux ? Mandat européen lié aux financements européens ? Quelle position des pouvoirs publics ? Incitation, contrainte, subsides de l’open access ?
c. Liberté du chercheur de choisir ses lieux de publication, lieux qui parfois refusent le dépôt en open access ?
d. Accès du public à la littérature de recherche : pertinence ? danger ?
e. En plus des articles, données à placer également en open access (open data) ? Livres ? Autres types de publications ?
f. Problème de la sécurisation de la prise de risques (médecine, sciences)
g. Dépôt lié à une institution universitaire ? centralisé par thème ? centralisé par pays ?
h. Que penser des initiatives privées (ResearchGate, Academia, etc.) ?
2. Économie et financement de l’open access
a. Que coûte un dépôt institutionnel ? Une mutualisation des coûts est-elle un argument en faveur d’une centralisation ?
b. Comment financer le gold ?
c. Différencier le gold de l’APC (article processing charges = auteur-payeur) : autres stratégies de financement
d. Quel investissement des pouvoirs publics ?
e. Quel rôle pour des organismes de financement de la recherche comme le FNRS (subsides à la publication pour des ouvrages ou des revues, prise en charge des frais de publication d’articles) ?
f. En SHS, que faire des petits éditeurs (vus comme les partenaires des chercheurs) dont le modèle économique est précaire ?
3. Open access et évaluation de la recherche
a. Liens entre dépôt institutionnel et évaluation quantitative des chercheurs ?
b. Meilleure évaluation si richesse des métadonnées (résumé, mots-clés) car meilleure visibilité des enjeux ?Open access comme politique de communication du chercheur ?
c. Rôle du dépôt institutionnel dans le travail des conseils de la recherche à l’ULg ?
d. Facteur d’impact et revues en open access
e. Epi-revues (revues fondées sur le dépôt préalable d’articles dans des archives open access puis par une évaluation et un regroupement thématique des liens vers ces articles par les comités des épirevues) : un bouleversement futur de nos pratiques ?
Et pour être complet, le hashtag Twitter : #OAulg2013
Bientôt, un résumé en vidéo (sur la webTV ULg) :